Cette semaine, Les Détectives sauvages se sont intéressés au bal Années Folles proposé par le Umlaut Big Band le 10 mars prochain au Tap et ça va être l’occasion de réviser le charleston. Vous pourrez également profiter de la projection de Cotton Club de Coppola, le 5 mars au Tap Castille, pour vous remettre en jambes.
Une soirée qui leur a donné envie de vous plonger dans la fièvre des années 20. C’est parti pour une heure d’excès en tous genres.
https://soundcloud.com/lesdetectivessauvages/les-detectives-sauvages-20-annees-folles
Ce soir, les Détectives sauvages sont allés prélever pour vous :
- Un extrait de l’émission Journal de voyage au temps des années folles ;
- Les premières minutes du film Cotton Club de Francis Ford Coppola, sorti en 1984 avec la musique de John Barry ;
- Deux passages d’un roman célèbre : Gatsby le Magnifique de Scott Fitzgerald ;
- Le morceau Minnie The Mooncher par Cab Calloway, chanteur ayant débuté au fameux Cotton Club ;
- Le morceau Chloe selon Duke Ellington, pianiste, compositeur et chef d’un des plus célèbres orchestres de la période ;
- Une définition des Années Folles ;
- Le morceau Revue noire de Nicolas Repac, collage musical et hommage à la revue nègre de Joséphine Baker ;
- Des extraits du documentaire Paris années folles de Nicolas Béziat ;
- Jerry Lee Lewis interprétant sa version rock du célèbre Sweet Georgia Brown, standard jazz écrit en 1925 ;
- Le style Chanel et le charleston selon l’émission L’art et les hommes ;
- Le groupe Roaring Twenties samplant le jazz des années 20 dans leur morceau That’s classic ;
- Eubie Blake, musicien né en 1887 et jouant en 1972 son plus célèbre morceau : Charleston Rag ;
- Une réflexion de Gertrude Stein sur la génération perdue dans l’autobiographique Paris est une fête d’Ernest Hemingway ;
- Une interview de Mistinguett par Serge l’historien du cirque, présentateur un peu speed des Nuits de France Culture ;
- Une pépite imparable : le groupe punk français Chaps interprétant Les Roses Blanches, grand classique des années 20 françaises ;
- Une scène anthologique de Singin in the rain, comédie musicale de Stanley Donen et Gene Kelly, mettant à l’honneur les roaring twenties ;
- Joe Cocker livrant une interprétation seventies du classique jazz Bye Bye Black bird, originellement publiée en 1926 ;
- Un passage du roman La Danse pieuse, de Klaus Mann ;
- Roberto Benigni apprenant l’anglais dans Down by Law de Jim Jarmush grâce au I scream, You scream, We all scream, chanson populaire sortie en 1927
- Et enfin, last but not least, une évidence, Louis Armstrong interprétant le ténébreux St. James Infirmary.
Et la pépite à écouter en boucle :